Le découpage administratif français en communes, départements et régions n’est pas nécessairement le plus pertinent, comme en atteste la multiplication de structures diverses de coopération intercommunale, infra ou super-départementales et trans-régionales.
Prenant appui sur l’interdépendance de la ville et de la campagne, sur les réseaux d’échange, sur les affinités culturelles, historiques, de nouvelles unités s’imposent en réponse au désir de » vivre, travailler, décider au pays « . L’auteur suggère en conséquence que cette unité de fait, qualifiée de » pays « , bénéficie d’un cadre administratif approprié.