A l’occasion, ou à partir, d’une réflexion sur La paix indésirable. Elisabeth Meichelbeck propose une brève mais ample méditation sur l’avenir et le passé de l’espèce humaine. Publié après la disparition de son auteur, l’ouvrage résume apparemment la recherche d’une vie. Malgré des aspects déroutants sur lesquels on reviendra dans la conclusion critique de ce compte-rendu, il mérite l’attention.
Bibliographie n° 192
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 192, novembre 1994