L’école est aujourd’hui confrontée à la contradiction entre le passé sur lequel elle se fonde et l’avenir qu’elle prépare. Instrument de reproduction sociale, elle est avant tout garantie d’une certaine stabilité.
Peut-on, dès lors, lui demander de devenir un instrument d’épanouissement personnel et de dynamique sociale, sans sombrer dans l’utopie d’une nouvelle méritocratie ? Telle est la question que pose Hugues Jouvenel, délégué général de l’Association Futuribles.
Ce document a été préparé pour un séminaire (26 octobre 1978) de l’Institut international de Planification de l’Éducation.